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Satsuki Hirai
Née à Tokyo, Satsuki Hirai a terminé son master d’accompagnement au piano dans la classe
de Jean-Frédéric Neuburger au CNSMDP. Et au CRR de Paris dans celles d’Ariane Jacob,
Éric Le Sage et Paul Meyer en musique de chambre.
À 22 ans, titulaire d’une licence de piano et d’un master de formation musicale,
elle fait une rencontre déterminante avec Maria Joaõ Pires à Gifu au Japon.
Elle décide alors de poursuivre sa formation en France car elle apprécie beaucoup les couleurs uniques de la musique française moderne et contemporaine.
En 2022, elle est piano solo de la « Sonatine pour piano et orchestre » de Jean-Jacques Charles avec les Gardiens de la paix. En 2023, deuxième piano du « Carnaval des animaux » de C. Saint-Saëns avec la pianiste Ami Fujiwara et l’ensemble orchestral Kanazawa dirigé par Yasuaki Itakura et participe à une master classe de Maria João Pires au Portugal. En 2024, premier piano solo de
« Répons » avec Kunitachi philharmonica à Tokyo.
Elle joue en tant que chambriste et claviériste dans l’orchestre notamment au musée du Petit palais et à la Philharmonie de Paris avec l’Orchestre de Paris.
Elle continue à étudier au CNSMDP en formation musicale supérieure et enseigne au CRD de Clamart comme accompagnatrice et chef de chant.
Bénédicte Barriquand
Après ses premières études à Sciences-po Paris en Service public, elle est devenue
comédienne au théâtre (formation classique au conservatoire du XVème Paris et
au Studio 34) où elle a travaillé pour des créations au théâtre subventionné ou privé.
(Le marin F. Pessoa, Les éblouissements de Mr. Maurice, M. Fourré...)
La voix chantée, comme une naissance, est venue en répétant avec un chef
d’orchestre à 33 ans.
Les années nombreuses qui ont suivi ont été difficiles.
Sa formation de chanteuse et musicienne (École normale de musique puis Schola cantorum de Paris) a commencé vraiment par la rencontre avec Nadine Denize avec qui elle a travaillé dix ans puis Jean-Pierre Wallez, musique de chambre et Stéphane Delplace, harmonie.
Début dans des ensembles vocaux et choeurs, puis soliste d’oratorios notamment le finale du Songe de Gerontius (air de l’ange) d’Elgar dirigé par Francis Bardot.
Sa sensibilité l’attire vers la musique de chambre où elle aime partager son goût pour la création, les langues, les beautés de l’histoire et surtout la musique classique vivante.
Elle a entendu jouer Satsuki Hirai pour la première fois au Cnsm dans les poèmes pour Mi de Messiaen : «Le ciel ...»
Ce programme Schubert-Debussy est le premier, d’autres idées sont en préparation.
